Paul GaudetFamille Boulay Web SiteMyHeritage

Lundi 21 sept 2015

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Personnes‎ > Paul GaudetVoir dans l’arbre  Voir dans la chronologie  Voir dans le livre chronologique  Paul GaudetNé :9 janv 1733 à :
 Tintamarre, AcadieMort :14 avr 1779 (à l’âge de 46 ans)à :
 St-Servan, St-Malo, FranceInfoÉvènementsChronologie

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Diaporama 

Famille proche

Marie (Marie-dit-Manette) Gaudet (née Bourg (Bourque))Son épouseRose Gaudet (née Gaudreau (Gautrot))Son épouseAugustin Gaudet (Godet)Son pèreAgnes Gaudet (Godet) (née Chiasson)Sa mèrePierre Gaudet (Godet)Son frèreLouis GaudetSon frèreMichel Gaudet (Godet)Son frèreAnne (Nanette) Cormier (née Gaudet (Godet))Sa soeurJoseph Gaudet dit ChaculotSon frèreJean (Jean-Augustin) Gaudet (Godet)Son frèreJeanne Gaudet (née Gaudet (Godet))Sa soeur  

Biographie

Acte de marriage (Registre de Ristigouche)Le 21 janvier 1760, entre Paul Gaudet, fils d’Augustin Gaudet et d’Agnès Chiasson de la paroisse de Sainte-Anne en Acadie et Marie Bourque, fille de François Bourque et Marie Bélivo de la même paroisse; en présence de Messieurs Bourdon, Marchand et Jean Arsan.Source: Mallet, Victorin N.: Les métis acadiens de la Baie des Chaleurs, Shediac Cape, 2010xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxC’est après 1758 que de nombreux Acadiens trouvèrent refuge en Gaspésie dans la baie des Chaleurs à l’embouchure de la rivière Ristigouche où se trouvait le poste français de Petite-Rochelle. Celui-ci était situé à l’est du village actuel de Pointe-à-la-Croix au bord de la Ristigouche. Entre 1758 et 1760, plus de 1000 Acadiens rescapés de la déportation s’y réfugièrent. Certains, devenus corsaires, attaquèrent les bateaux britanniques. Après la bataille navale de la Ristigouche de 1760, les troupes du général James Wolfe détruisirent les 200 maisons du village avec le résultat que les Acadiens s’établirent dans d’autres endroits de la baie des Chaleurs; ils fondèrent les villages de Bonaventure et de Carleton. En 1766, arriva en Gaspésie Charles Robin (1743-1824) de l’île anglo-normande de Jersey; celui-ci y installa un commerce de la pêche et fut surnommé «le roi de la morue» en exploitant ses employés. Il fit venir en Gaspésie (Paspébiac) deux bateaux d’Acadiens (en tout: 81) recrutés en France parmi les déportés. Plus tard, des Acadiens de Rustico de l’île Saint-Jean (île du Prince-Édouard) s’installèrent dans le village de Saint-Alexis dans la vallée de la Matapédia. D’autresparoisses acadiennes surgirent: Saint-François-d’Assises et l’Ascension à l’ouest, Saint-Laurent et Saint-André-de-Ristigouche à l’est.La Bataille de la Restigouche, 1760Après la chute de Québec, en septembre 1759, les Français envoient à la France une demande urgente de 4000 soldats et de vivres. La France tente alors un dernier effort pour soutenir sa colonie d’Amérique. Partis de Bordeaux le 19 avril 1760, cinq navires marchands escortés par la frégate Le Machault traversent l’Atlantique pour venir à la rescousse de sa colonie. Chargés de 2 000 tonneaux de vivres et de munitions, les 6 voiliers transportent seulement 400 hommes de troupe. Au lendemain de son départ, la flottille doit s’éparpiller afin de contourner le blocus des côtes françaises maintenu par des vaisseaux anglais. L’Aurore et Le Soleil sont arraisonnés par les Anglais. Deux semaines plus tard, Le Fidélité fait naufrage au large des Açores. Le 15 mai, seuls Le Machault, Le Bienfaisant et Le Marquis-de-Malauze atteingnent le golfe du Saint-Laurent. En entrant dans le Golfe, la petite flotte apprend que l’ennemi est maître du Saint-Laurent et que la Baie de Gaspé n’est pas sûre. Le commandant, François Chenard de La Giraudais, prend la décision de se réfugier dans la Baie des Chaleurs en attendant des nouvelles de Québec. Les nouvelIes arrivent finalement : inutile de remonter le fleuve… la capitale de la Nouvelle-France est assiégée. À cette époque, la petite agglomération de Restigouche compte des réfugiés acadiens et quelque 150 familles micmaques. Nourrie et armée par les Français, la population se prépare à livrer bataille avec eux. Ils installent des batteries de tir sur les rives de la rivière et un barrage en travers. De leur côté, les Britanniques dépêchent, de Louisbourg, cinq vaisseaux de guerre commandée par le capitaine John Byron. Devant la supériorité britannique, La Giraudais fuit vers l’intérieur. Il espère que les vaisseaux anglais, avec leur fort tirant d’eau, ne pourront s’engager dans le chenal donnant accès à l’estuaire. La dernière bataille Le 3 juillet, après plusieurs jours de tentatives les Britanniques réussissent à se frayer un chemin.Le Machault doit se replier en amont. On somme les Français de se rendre. Le refus est formel : jamais! L’affrontement qui suit dure plusieurs jours et la bataille est ponctuée de nombreux revirements. Les canons britanniques détruisent les batteries sur les rives, mais non sans que les artilleurs français infligent de lourds dommages aux navires britanniques La bataille fait rage pendant dix-sept jours. Les Français se défendent vaillamment, mais leurs munitions s’épuisent. Le 8 juillet, plutôt que de permettre aux Anglais de s’emparer des navires, deux capitaines décident de les saborder. N’étant pas armé, le troisième bateau, le « Marquis-de-Malauze » n’avait pas participé à l’engagement, mais au cours de la bataille, il prend feu et les flammes le brûle jusqu’à la ligne de flottaison.Il coule ensuite au fond de la Baie, non loin de Restigouche. La fin des espoirs Privée de renforts et de ravitaillement, la Nouvelle-France capitule, à Montréal, le 8 septembre 1760. La nouvelle ne parvient à Restigouche que le 23 octobre. Six jours plus tard, la petite garnison se rend. C’est donc ici que prend fin les espoirs de la Nouvelle-France en 1760.Recherche d’ancêtres :RechercheTéléchargez gratuitement notre logiciel de généalogieAmusant et simple d’utilisationImportez votre fichier Gedcom facilementTechnologie de Smart Matching(TM)Prise en charge de 40 languesTéléchargez

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